À cette époque, le Labrador n’était pas encore si populaire qu’aujourd’hui, mais nous avions déjà entendu dire beaucoup de bien de cette race qui d’après ses admirateurs, était le miracle fait chien.
Dès lors, nous nous sommes mis à la recherche d’un chiot afin de reporter sur lui notre trop plein d’amour et de tendresse. Je ne sais pas encore pourquoi, mais nous ne nous sommes pas rués sur le premier chiot qui se présentait, nous avons pris le temps d’arrêter notre choix ; ainsi, nous avons beaucoup bouquiné, ce qui nous a fait prendre conscience qu’il existait des lignées de plusieurs types. Nous sommes allés voir des expos de beauté et avons visité plusieurs élevages, où nous avons vu des chiens jaunes, des noirs, et parfois même des chocolats. (couleur foie)
Au cours de ces visites, nous avons reçu des copies de pedigrees, et par là même, nous nous sommes rendus compte que les chiens qui nous plaisaient le plus avaient tous +/- les mêmes origines à la base.
Dès lors, sachant quels chiens nous voulions avoir dans la lignée, nous avons continué notre quête à l’aide du listing de la Société Royale st Hubert, et nous avons trouvé ce que nous cherchions chez Monsieur Philippe Lammens, élevage of Misty-Dream’s à Nukerke près de Renaix.
Là, nous avons trouvé le chiot que nous cherchions, mais aussi beaucoup plus que cela ; nous avons rencontré un homme qui vivait sa passion des Labradors à 200%, qui nous a fait partager cette passion en nous prodiguant les conseils les plus judicieux pour éduquer notre chiot, mais surtout, qui nous a transmis le virus du beau et bon Labrador Retriever.
Philippe, si tu lis ces quelques mots, saches que Rina et moi t’en serons toujours reconnaissants.
Pour en revenir à Mony, depuis son arrivée à la maison, hormis quelques fois où cela était impossible, elle nous accompagnait partout.